Regardezla vidéo Last Night in Soho : Bande-Annonce (2) VOST - Last night in Soho (2021) réalisé par Edgar Wright avec Thomasin McKenzie et Anya Taylor-Joy
Un rapport du FBI indique qu’Alec Baldwin a dû appuyer sur la gâchette pour que l’arme se déclenche, tandis qu’un médecin légiste a conclu à un accident ». Dix mois après qu’Alec Baldwin a tué Halyna Hutchins lors du tournage de Rust au Nouveau-Mexique, de nouveaux détails sur les circonstances de sa mort ont émergé. Au cours de la semaine dernière, deux nouveaux rapports ont apporté un éclairage supplémentaire sur la façon dont la tragédie a pu se produire. Lundi, le bureau du shérif du comté de Santa Fe a publié le rapport du médecin légiste, déclarant officiellement que la fusillade était un accident. L’examen des rapports des forces de l’ordre disponibles n’a pas permis de démontrer de manière convaincante que l’arme à feu a été chargée intentionnellement avec des munitions réelles sur le plateau, peut-on lire dans le rapport d’examen post-mortem, signé le 9 août et obtenu par Rolling Stone. Sur la base de toutes les informations disponibles, y compris l’absence d’intention évidente de causer des blessures ou la mort, la manière dont la mort a été causée est classée comme un accident ». Malgré ces conclusions, les procureurs n’ont pas encore décidé s’ils allaient porter plainte dans cette affaire, selon l’Associated Press. C’est la troisième fois que les autorités du Nouveau-Mexique constatent qu’Alec Baldwin n’avait aucune autorité ou connaissance des conditions dangereuses sur le plateau, que la personne chargée de la sécurité sur le plateau lui a dit que l’arme était “froide” et qu’il croyait que l’arme était sûre », a déclaré l’avocat Luke Nikas à Rolling Stone. Les conclusions du rapport interviennent également plusieurs jours après la publication par le FBI d’une analyse de l’arme à feu qui a tué Hutchins, indiquant que l’arme était en état de marche et qu’elle n’aurait pas pu se décharger à moins d’appuyer sur la gâchette. Ces conclusions vont à l’encontre de ce que Baldwin a déclaré dans une interview accordée en décembre à ABC News, où il a affirmé qu’il n’avait pas appuyé sur la gâchette. Avec le chien en position d’armement complet, [l’arme] ne pouvait pas être mise à feu sans que l’on appuie sur la gâchette alors que les composants internes étaient intacts et fonctionnels », peut-on lire dans le rapport du FBI obtenu par Rolling Stone. Cependant, dans une interview accordée au podcast Chris Cuomo Project publiée mardi, Baldwin a maintenu sa version selon laquelle il n’a pas appuyé sur la gâchette. On ne sait pas si l’interview a été enregistrée avant ou après que les rapports du FBI ou de l’enquêteur médical ont été rendus publics. Reports about how the gun went off on the set of “Rust” are finally addressed – don’t miss today’s special episode with AlecBaldwin Watch or listen here — Christopher C. Cuomo ChrisCuomo August 16, 2022 Baldwin a également répété que le responsable de la sécurité sur le plateau lui avait dit que c’était une arme froide » Pourquoi a-t-il dit ça s’il ne le savait pas ? S’il n’avait pas vérifié ? Le fait est qu’on nous a tous dit que tout était cool, qu’on pouvait se détendre et qu’on travaillait avec une arme avec laquelle on pouvait répéter en toute sécurité. […] Je sais que chaque personne sur le plateau du film sait ce qui s’est passé. Les gens qui parlent le plus fort de ce qui s’est passé ou qui spéculent n’étaient pas sur le plateau du film […] ils parlent encore et encore de “et si” ceci et “et si” cela ». Nikas, l’avocat de Baldwin, a également ajouté à Rolling Stone que le rapport du FBI était mal interprété », car l’arme était en mauvais état » lorsqu’elle est arrivée à l’agence pour l’analyse. Le FBI n’a pas été en mesure de tirer avec l’arme lors des tests précédents, même en appuyant sur la gâchette, car elle était en très mauvais état », a-t-il déclaré. L’avocat de la famille Hutchins a refusé de commenter les dernières conclusions. Tomás Mier Traduit par la rédaction
LASTNIGHT IN SOHO met en scène l'histoire d'une jeune femme passionnée de mode et de design qui parvient mystérieusement à retourner dans les années 60 où elle rencontre son idole, une éblouissante jeune star montante. Mais le Londres des années 60 n'est pas ce qu'il parait, et le temps semble se désagréger entrainant de sombres
La bande-annonce de Last Night in Soho a été publiée hier. Le thriller vous fera trembler le 10 novembre prochain en France. Quand le passé vous laisse entrer, c’est la vérité qui ressurgit. » Une partie du thriller a été dévoilée dans la bande-annonce d’Universal Pictures. En quelques minutes seulement, on parvient à comprendre le cauchemar que l’actrice Anya Taylor-Joy va vivre. Le réalisateur Edgar Wright se replonge dans le genre horrifique après de nombreux films à succès tels que Shaun of the Dead ou Baby Driver. À l’inverse de ses anciennes créations, le réalisateur britannique opte pour du sérieux et surtout de l’angoissant pour Last Night in Soho. L’intrigue suit une jeune fille, passionnée par la mode, qui parvient mystérieusement à voyager dans les années 1960 où elle rencontre son idole, une éblouissante chanteuse en devenir. Mais le Londres de cette époque n’est pas ce qu’il paraît, et le temps semble se désagréger avec d’obscures conséquences… synopsis d’AlloCiné Au Festival de Cannes? On suivra alors Anya Taylor-Joy dans ses cauchemars à l’époque des sixties. Par ailleurs, l’actrice américaine connaît depuis quelques années un essor particulier. Après son apparition dans le célèbre The Witch et le perturbant Split, Anya Taylor-Joy a interprété le rôle de Beth Harmon dans la production originale Netflix Le Jeu de la dame. À ses côtés dans le thriller, on retrouvera la jeune Thomasin McKenzie et l’acteur de Doctor Who, Matt Smith. En outre, la bande-annonce est à couper le souffle. Le jeu entre les deux protagonistes semble tout simplement captivant, rien qu’à en voir les regards qu’elles se lancent à travers le reflet du miroir. Cependant, il faudra attendre pour le voir. Le film sortira en France le 10 novembre prochain. Et il pourrait bien se retrouver sur les listes du Festival de Cannes. Le délégué du Festival pourrait, en effet, être assez surpris par le thriller pour l’ajouter sur la sélection, qui doit être annoncée le 3 juin prochain. Last Night in Soho », avec Anya Taylor-Joy — Universal Pictures À lire aussi La bande-annonce de l’Hôtel Transylvanie 4 Monstres et humains échangent leurs rôles
Sortie: 27 octobre 2021 LAST NIGHT IN SOHO met en scène l’histoire d’une jeune femme passionnée de mode et de design qui parvient mystérieusement à retourne
Universal Pictures a dévoilé une première bande annonce de Last Night in Soho, le prochain film d’Edgar Wright prévu pour la fin d’année. Synopsis LAST NIGHT IN SOHO met en scène l’histoire d’une jeune femme passionnée de mode et de design qui parvient mystérieusement à retourner dans les années 60 où elle rencontre son idole, une éblouissante jeune star montante. Mais le Londres des années 60 n’est pas ce qu’il parait, et le temps semble se désagréger entrainant de sombres répercussions. Last Night in Soho d’Edgar Wright avec Anya Taylor-Joy, Thomasin Harcourt McKenzie, Matt Smith, Terence Stamp, Diana Rigg, Rita Tushingham, Michael Ajao, et Synnøve Karlsen, est prévu pour le 10 novembre prochain au cinéma. Trailer en VF Trailer en VO
LastNight in Soho n’est pas une réappropriation nostalgique des Swinging Sixties, cette époque de liberté décrite comme la plus belle ère londonienne, une évocation de fantaisie, de mode et de pop, de légèreté et de bonheur métro-généralisé. Le film est bel et bien une énième évocation de la condition féminine maltraitée qui forcément vient
Sortie 27 oct. 2021 Potentiellement préjudiciable jusqu'à 16 ans Drame, Epouvante-Horreur 1h58 Potentiellement préjudiciable jusqu'à 16 ans 7 membres ont donné leur avisDrame, Epouvante-Horreur1h58 de Sortie 27 oct. 2021 7 ont aimé L’histoire d’une jeune femme passionnée de mode et de design qui parvient mystérieusement à retourner dans les années 60 où elle rencontre son idole, une éblouissante jeune star montante. Mais le Londres des années 60 n’est pas ce qu’il parait, et le temps semble se désagréger entrainant de sombres répercussions. Synopsis et détails Noter ce film+ J’ai adoré J'ai aimé J’ai été déçu Partager Annuler
Nouveaulong-métrage de Edgar Wright (Baby Driver, la trilogie Cornetto), Last Night in Soho dévoile sa nouvelle bande-annonce. Au casting de ce thriller horrifique, on retrouve Anya Taylor-Joy (), Thomasin Harcourt McKenzie, Matt Smith, Terence Stamp, Diana Rigg et Rita Tushingham.Synopsis. L’histoire d’une jeune femme passionnée de
Présenté hors compétition à la Mostra de Venise, "Last night in Soho" du cinéaste britannique Edgar Wright "Baby driver" fut une réjouissante surprise dans une sélection officielle par ailleurs fort night in SohoOn y fait la connaissance d’Eloïse la jeune néo-zélandaise Thomasin McKenzie, naïve jeune provinciale qui quitte ses chères Cornouailles pour monter à Londres intégrer une école de stylisme. Biberonnée à la mode des Sixties, Eloïse écoute Petula Clark et ne jure que par les robes d’Audrey Hepburn… Après quelques déconvenues dans la capitale, l’étudiante trouve une petite chambre sous les toits chez une logeuse Diana "Emma Peel" Rigg, dont c’est la dernière apparition à l’écran. Et là , dans son sommeil, elle est transportée comme par magie dans le Soho des années 60 et découvre l’effervescence des night-clubs. Dans ses rêves, elle rencontre son double, Sandie Anya Taylor-Joy, révélée par " The Queen’s gambit " qui aspire à devenir chanteuse. Chaque nuit, Eloïse va effectuer cet inexplicable voyage dans le temps retrouver cet univers rétro qu’elle affectionne tant mais elle va y découvrir avec effroi, avec Sandie, que le monde de la nuit recèle aussi des mauvaises surprises… Il faut un vrai talent de mise en scène pour mettre en scène le parcours surprenant d’Eloïse. Heureusement, Edgar Wright a les moyens de son ambition la reconstitution de ce Soho fantasmé est étincelante, tout comme son casting – où, en plus de Diana Rigg, une autre icône du cinéma anglais des sixties, Terence Stamp, vient apporter son concours – . Le scénario, qui allie suspense, mystère et fantastique, se révèle aussi être une réflexion spirituelle sur les dangers de la nostalgie aveugle, de la glorification inconditionnelle du passé. Rythmé par une bande originale qui revisite avec éclat les tubes de l’époque, "Last night in Soho" est une merveille, un plaisir de tous les instants pour les amateurs d’un cinéma à la fois divertissant et profond. The French DispatchDans la petite municipalité fictive d’Ennui-sur-Blasé c’est en réalité Angoulême qui a servi pour le tournage du film, Arthur Howitzer Jr Bill Murray, Américain installé en France, est le rédacteur en chef de "The French Dispatch", vénérable magazine qui relate l’actualité européenne pour un lectorat anglo-saxon. Le film nous fait d’abord découvrir l’équipe de ce joli journal, ensuite on nous raconte par le menu trois reportages pittoresques le portrait d’un criminel qui, de sa prison, devient une star de l’art abstrait, la chronique d’une révolution étudiante, et les tribulations d’un grand chef coq. "The French Dispatch" est élaboré comme si le spectateur feuilletait un luxueux magazine illustré – façon " New Yorker " – et qu’il rentrait comme par magie dans l’univers des trois reportages. Comme toujours chez Wes Anderson, c’est superbe sur le plan esthétique chaque élément du décor est choisi avec soin, les cadrages privilégient la symétrie et les doux travellings, et le casting ressemble à un véritable bottin mondain. C’est bien simple des acteurs renommés – Christof Waltz, Elizabeth Moss, Saoirse Ronan, Edward Norton, etc. – viennent parfois pour réciter deux répliques ou faire une aimable apparition une "cameo appearance". En réalité, Wes Anderson a inventé un procédé incroyablement snob le "name dropping" au cinéma. Ces acteurs de talent n’ont, souvent, rien à défendre dans le film ; ils sont réduits à être des figurines avec lesquels le cinéaste, tel un gosse couché sur le tapis de sa chambre, joue pour les disposer à sa guise dans ses jolis décors. "The French Dispatch", c’est un luxueux panorama de train électrique. Mais après un quart d’heure, on s’ennuie à le regarder comme on se fatigue d’avoir regardé un train faire trois fois le tour du circuit. C’est beau, mais c’est monotone et terriblement vain. La CivilDans le Nord du Mexique, Cielo, mère divorcée, voit le sol se dérober sous elle lorsque sa fille est enlevée par un cartel, et qu’on lui réclame une rançon de pesos qu’elle n’a pas les moyens de payer. Son ex-mari réunit une partie de la somme, ils la remettent aux ravisseurs… Qui ne libèrent pas la jeune fille. Avec l’énergie du désespoir, Cielo va remuer ciel et terre pour retrouver son enfant, et devant l’apathie de la police, accepte l’aide d’un militaire qui veut mettre de l’ordre dans la région… Avec "La Civil", la réalisatrice belgo-roumaine Teodora Mihail veut mettre un visage sur un des drames les plus vifs du Mexique, les rapts et les disparitions inexpliquées. Dans le rôle de Cielo, Arcelia Ramirez est parfaite de détermination et de douleur contenue, mais on aurait aimé que la réalisatrice dresse un portrait moins flou du contexte politique ; ainsi, on comprend mal les rapports conflictuels qu’entretiennent la police et l’armée, et l’étendue du pouvoir des cartels. Néanmoins, le film a le grand mérite de raconter, avec un récit fait de chair et de sang, un drame national dont nous, spectateurs occidentaux, ignorons trop souvent l’ampleur. LuiUn quadragénaire, compositeur de musique de films en panne d’inspiration, quitte femme et enfants pour se réfugier seul dans une charmante villa de Belle-île-en-Mer. Là où il espérait trouver la sérénité suffisante pour faire le point, il est en permanence assailli par les fantômes de ses proches sa maîtresse Laetitia Casta, sa femme Virginie Efira, son vieux pote Mathieu Kassovitz, qui le mettent face à ses contradictions. Depuis le succès de son adaptation d’Harlan Coben "Ne le dis à personne", Guillaume Canet se prend pour un auteur. Après avoir réalisé du sous-Claude Sautet avec "Les petits mouchoirs" et son épouvantable suite, voici qu’il lorgne vers le cinéma surréaliste de Bertrand Blier avec "Lui", en reprenant sans vergogne les procédés de l’auteur du " Bruit des glaçons " les protagonistes qui envahissent l’esprit de son personnage sont tous physiquement présents à l’écran. Ensuite, dans la seconde partie du film, "Lui" fait face à sa mauvaise conscience, et Canet est face à Canet. On reste pantois devant une telle prétention, doublée d’une telle vacuité Canet entend signer une comédie existentielle à haute teneur métaphysique mais en réalité, derrière ces coquetteries de mise en scène, il n’a rien à dire, et tombe dans les clichés les plus éculés des angoisses du bourgeois vieillissant. Regarder ce film jusqu’au bout est une véritable épreuve, et ses 85 minutes semblent durer une éternité. 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26mai 2021 - A lire sur AlloCiné : 17 ans après le culte et comique "Shaun of the dead", Edgar Wright revient au genre horrifique avec "Last Night in Soho". En attendant la sortie en novembre prochain, découvrez la bande-annonce du film avec Anya Taylor Joy.